dimanche 28 juin 2009
samedi 27 juin 2009
vendredi 26 juin 2009
dimanche 21 juin 2009
aujourd'hui c'est la fête des Pères
Autoritaire, protecteur, papa poule ou papa gâteau : aujourd'hui tous les papas seront à l'honneur. Tout a commencé officiellement en 1909, dans la petite ville de Spokane aux Etats-Unis.
Le mot et ses origines religieuses :
Dieu créateur a de tout temps été nommé Dieu le Père. Puis ce fut Abraham, père des croyants (XIXème siècle avant JC) et patriarche biblique. Les peuples juifs, arabes et chrétiens revendiquent tous sa descendance. Les Romains avaient également leurs pères, les empereurs nommés Pères de la Patrie. D'ailleurs Père vient du latin "pater", tantôt utilisé dans le sens de créateur, tantôt emprunt de sentiments paternels à la fois tendres, autoritaires et protecteurs. Chez les chrétiens, les pères étaient bien sûr les membres du clergé. le pape lui-même est nommé Saint-Père par les catholiques.
La fête, une histoire américaine:
C'est semble-t-il aux Américains que l'on doit l'idée de rendre hommage aux papas. L'idée de créer une fête pour que les enfants honorent leurs pères est en effet née à Spokane (Etat de Washingthon). Sonora Smart Dodd fut la première personne à proposer la fête des pères. En écoutant un sermon le jour de la fête des mères en 1909, Sonora s'interrogea sur cette célébration. Elle avait été élevée par son père, Henry Jackson Smart, après la mort de sa mère et elle voulait lui faire savoir à quel point elle lui était reconnaissante. Comme son père était né en juin, elle choisit ce mois pour organiser la première fête des pères à Spokane le 19 juin 1910. L'idée fit son chemin et en 1924, le président Calvin Coolidge soutint l'idée d'une journée nationale de fête des pères. Mais il fallut attendre 1966 et le Président Lyndon Johnson pour que fût signée la proclamation officielle d'un "Father's Day" le troisième dimanche de juin.
En Europe :
C'est en 1952 que la France institua la première fête des pères, deux ans après l'officialisation de la fête des mères. En Belgique, elle a lieu le deuxième dimanche de juin, une semaine avant les autres. En Italie, c'est le jour de la saint Joseph, le 19 mars, que l'on célèbre les papas. Au Luxembourg, les papas doivent attendre le mois d'octobre. Cette année la fête est donc fixée au 3 octobre.
Le symbole de la fête des pères:
Paradoxalement, c'est la rose qui est la fleur de la fête des pères. On porte des roses rouges pour un père qui est vivant et blanche pour un père qui est mort.
vendredi 19 juin 2009
Vu ce soir au ciné
Inconditionnel admirateur des films de Pédro Almodovar , Etreintes brisées ne m'a pas déçu ! bien au contraire .
Les personnages ,les couleurs , l'atmosphère, la musique , l'intrigue,la qualité de la photo, tout y est je vous dis !*
Titre original : LOS ABRAZOS ROTOS
Réalisé par Pedro Almodóvar
Réalisé par Pedro Almodóvar
Avec Penélope Cruz, Lluis Homar, Blanca Portillo, José Luis Gomez
Tous publics Durée : 2h07. - Genre : Film noir-policier
Tous publics Durée : 2h07. - Genre : Film noir-policier
Sortie nationale le 20/05/2009 - En salle depuis le 4 juin
Synopsis :
Dans l'obscurité, un homme écrit, vit et aime. Quatorze ans auparavant, il a eu un violent accident de voiture dans l'île de Lanzarote. Dans l'accident, il a non seulement perdu la vue mais aussi Lena, la femme de sa vie. Une histoire d'amour fou, dominée par la fatalité, la jalousie et la trahison.
Synopsis :
Dans l'obscurité, un homme écrit, vit et aime. Quatorze ans auparavant, il a eu un violent accident de voiture dans l'île de Lanzarote. Dans l'accident, il a non seulement perdu la vue mais aussi Lena, la femme de sa vie. Une histoire d'amour fou, dominée par la fatalité, la jalousie et la trahison.
21 juin fête de la musique
La Fête de la Musique naît en 1982 sur l'initiative de Maurice Fleuret, appuyé par Jack Lang, devenu ministre de la Culture après l'élection de François Mitterrand. Etonnant de repenser que pour cette première édition, il ne s'agissait que d'une demi-heure dédiée aux pratiques musicales amatrices...
Plus de 25 ans après sa création, les principes de la Fête de la Musique restent les mêmes : la valorisation des amateurs, le principe de gratuité, l'expression de toutes les musiques, sans hiérarchie de genres et l'extension à l'ensemble du territoire.Mais aujourd'hui cette fête est devenue un rendez-vous majeur des Français : en 2006, ce sont 18 000 concerts où se sont produits 800 000 musiciens, pour environ 10 millions de spectateurs.Et bien au-delà encore, cette fête connaît un succès international puisqu'environ 130 pays et 250 villes dans le monde la célèbrent aussi chaque année. Quant aux lyonnais, ils ne sont pas les derniers, spectateurs comme musiciens.
Du Ninkasi Gerland au Marché de Gros, il n'y a qu'un pont et la promesse de passer une fête de la musique riche en rythmiques synthétiques de bonne facture. De 18h à 6h du matin, en extérieur puis en intérieur, le Kao accueille une quinzaine de djs dont le prolifique duo parisien Scratch Massive. Habitués des clubs, Maud Geffray et Sébastien Chenut, les deux artistes qui composent la formation, avaient créé l'événement en 2003 avec un premier album Enemy & Lovers. De l'autre côté du pont, derrière l'échangeur de Perrache, les structures BEE Records, BRK, Freqknsyz, Jarring Effects, Polygohm et Ultimae proposent une nouvelle soirée Blow Stuff Up. Fédérées, ces structures régionales offrent un large panel de plaisirs électroniques qui s'étend de l'électronica au breakcore. Il y en aura donc pour tous les goûts grâce aux deux scènes du Marché de Gros lors de 12h de lives distillés par quelques 24 artistes confirmés ou en devenir.
Plus de 25 ans après sa création, les principes de la Fête de la Musique restent les mêmes : la valorisation des amateurs, le principe de gratuité, l'expression de toutes les musiques, sans hiérarchie de genres et l'extension à l'ensemble du territoire.Mais aujourd'hui cette fête est devenue un rendez-vous majeur des Français : en 2006, ce sont 18 000 concerts où se sont produits 800 000 musiciens, pour environ 10 millions de spectateurs.Et bien au-delà encore, cette fête connaît un succès international puisqu'environ 130 pays et 250 villes dans le monde la célèbrent aussi chaque année. Quant aux lyonnais, ils ne sont pas les derniers, spectateurs comme musiciens.
Du Ninkasi Gerland au Marché de Gros, il n'y a qu'un pont et la promesse de passer une fête de la musique riche en rythmiques synthétiques de bonne facture. De 18h à 6h du matin, en extérieur puis en intérieur, le Kao accueille une quinzaine de djs dont le prolifique duo parisien Scratch Massive. Habitués des clubs, Maud Geffray et Sébastien Chenut, les deux artistes qui composent la formation, avaient créé l'événement en 2003 avec un premier album Enemy & Lovers. De l'autre côté du pont, derrière l'échangeur de Perrache, les structures BEE Records, BRK, Freqknsyz, Jarring Effects, Polygohm et Ultimae proposent une nouvelle soirée Blow Stuff Up. Fédérées, ces structures régionales offrent un large panel de plaisirs électroniques qui s'étend de l'électronica au breakcore. Il y en aura donc pour tous les goûts grâce aux deux scènes du Marché de Gros lors de 12h de lives distillés par quelques 24 artistes confirmés ou en devenir.
mercredi 17 juin 2009
Deejee bientôt parrain
jeudi 11 juin 2009
Sheila au Zénith en 85
mardi 9 juin 2009
Le cru Roland-Garros 2009
Andre Agassi qui remet le trophée à Roger Federer : difficile de trouver plus beau lien entre deux champions d'exception.
- Le joli parcours de Gaël Monfils. Privé de préparation en raison de sa blessure au genou et arrivé sans repères, le Parisien s'est tout de même hissé en quart de finale, réalisant notamment un gros match contre Andy Roddick. Tout juste regrettera-t-on qu'il soit un peu resté « en dedans » lors de son quart de finale contre Federer.
- L'ambiance qui régnait sur le court lors des adieux de Fabrice Santoro, ému de quitter, à 36 ans, un tournoi auquel il a pris part à vingt reprises.
- La confirmation du talent de l'Argentin Juan Martin Del Potro qui n'est pas passé loin d'une première finale. À seulement 20 ans, il a indéniablement de beaux jours devant lui.
> Nous n'avons pas aimé... - L'attitude du public à l'encontre de Rafael Nadal lorsqu'il a été battu par Robin Söderling. Que les gens aient envie de changement et de voir Federer enfin triompher est compréhensible, mais le Majorquin, qui a toujours eu un comportement irréprochable envers le public, les médias et ses adversaires, méritait un peu plus d'égards.
- Le tournoi féminin dont la finale fut à l'image de l'ensemble de la compétition : globalement sans saveur et sans trop de suspense, même si quelques clientes inattendues comme Samantha Stosur ou Sorana Cirstea étaient présentes en quarts de finale.
- Le parcours des joueuses françaises et plus particulièrement des têtes de lice, Alizé Cornet, Marion Bartoli et, surtout, Amélie Mauresmo encore rattrapée par le syndrome Roland-Garros. •
DAVID DELPORTE
PHOTO PATRICK DELECROIX
Conclue dimanche en beauté par le sacre de Roger Federer, l'édition 2009 de Roland-Garros fut sans aucun doute l'une des plus passionnantes de la décennie. Retour sur les différents temps forts... > Nous avons aimé...
- Le premier sacre de Roger Federer sur la terre battue de la Porte d'Auteuil. Un moment historique pour le tournoi et de belles scènes d'émotions pour le public.
- La victoire de la Dunkerquoise Kristina Mladenovic (16 ans) dans l'épreuve juniors. Parce qu'il s'agit d'une Nordiste, bien sûr, mais aussi parce qu'elle laisse entrevoir de belles promesses pour l'avenir.
- Le premier sacre de Roger Federer sur la terre battue de la Porte d'Auteuil. Un moment historique pour le tournoi et de belles scènes d'émotions pour le public.
- La victoire de la Dunkerquoise Kristina Mladenovic (16 ans) dans l'épreuve juniors. Parce qu'il s'agit d'une Nordiste, bien sûr, mais aussi parce qu'elle laisse entrevoir de belles promesses pour l'avenir.
- Le joli parcours de Gaël Monfils. Privé de préparation en raison de sa blessure au genou et arrivé sans repères, le Parisien s'est tout de même hissé en quart de finale, réalisant notamment un gros match contre Andy Roddick. Tout juste regrettera-t-on qu'il soit un peu resté « en dedans » lors de son quart de finale contre Federer.
- L'ambiance qui régnait sur le court lors des adieux de Fabrice Santoro, ému de quitter, à 36 ans, un tournoi auquel il a pris part à vingt reprises.
- La confirmation du talent de l'Argentin Juan Martin Del Potro qui n'est pas passé loin d'une première finale. À seulement 20 ans, il a indéniablement de beaux jours devant lui.
> Nous n'avons pas aimé... - L'attitude du public à l'encontre de Rafael Nadal lorsqu'il a été battu par Robin Söderling. Que les gens aient envie de changement et de voir Federer enfin triompher est compréhensible, mais le Majorquin, qui a toujours eu un comportement irréprochable envers le public, les médias et ses adversaires, méritait un peu plus d'égards.
- Le tournoi féminin dont la finale fut à l'image de l'ensemble de la compétition : globalement sans saveur et sans trop de suspense, même si quelques clientes inattendues comme Samantha Stosur ou Sorana Cirstea étaient présentes en quarts de finale.
- Le parcours des joueuses françaises et plus particulièrement des têtes de lice, Alizé Cornet, Marion Bartoli et, surtout, Amélie Mauresmo encore rattrapée par le syndrome Roland-Garros. •
DAVID DELPORTE
PHOTO PATRICK DELECROIX
http://www.lavoixdessports.com
Sibérian Husky
jeudi 4 juin 2009
Discours de Barack Obama au Caire
Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a prononcé, aujourd’hui, au Caire, son discours au monde musulman qui compte plus d’un milliard de fidèles. « Je suis venu ici au Caire pour chercher un nouveau départ dans les relations entre les Etats-Unis et les musulmans du monde entier; un départ basé sur le respect et l’intérêt mutuels et cette vérité que l’Amérique et l’Islam ne sont pas incompatibles, et n’ont pas besoin d’être en compétition », a déclaré le chef de l’exécutif américain à l’université du Caire.
«Je suis convaincu que, pour avancer, nous devons nous dire ouvertement les choses que nous avons sur le cœur, et qui ne sont souvent dites qu’à huis clos. Il doit y avoir un effort soutenu pour nous écouter mutuellement, pour apprendre les uns des autres, pour nous respecter mutuellement et chercher un terrain d’entente », a encore dit le président Obama.
Le chef de l’exécutif américain a évoqué sa propre perspective de chrétien comptant des musulmans dans sa famille et ayant passé sa jeunesse en Indonésie, pays à majorité musulman. « Cette expérience guide ma conviction qu’un partenariat entre l’Amérique et l’Islam doit être basée sur ce que l’Islam est, et non ce qu’il n’est pas. Et je considère que cela fait partie de mes responsabilités de président des Etats-Unis de lutter contre les stéréotypes négatifs à l’encontre de l’Islam partout où ils sont présents», a-t-il expliqué.
Pour le président Obama, les terroristes exploitent les divergences et tuent des gens de diverses confessions dans plusieurs pays. « La foi éternelle de plus d’un milliard de personnes est tellement plus vaste que la haine étroite de quelques uns ; l’Islam ne constitue pas un problème dans la lutte contre l’extrémisme violent, c’est plutôt un élément important dans la promotion de la paix », a souligné le chef de l’exécutif.
Il est important de parler ouvertement de toutes les questions qui ont créé des frictions dans le passé, des guerres en Irak et en Afghanistan au processus de paix israélo-palestinien, a dit M. Obama. « Si nous voyons ce conflit d’un côté ou de l’autre seulement, alors nous seront aveugles face à la vérité. La seule solution est que les aspirations des parties se réalisent à travers deux Etats, où Israéliens et Palestiniens vivent en paix et en sécurité », a-t-il expliqué.
Les Palestiniens doivent renoncer à la violence et Israël à l’expansion des colonies, a affirmé le président Obama, ajoutant que les deux parties doivent honnêtement et ouvertement voir la situation telle qu’elle est. « De nombreux musulmans admettent en privé qu’Israël ne disparaîtra pas. De même, de nombreux Israéliens reconnaissent la nécessité d’un Etat palestinien. Il est temps pour nous d’agir en tenant compte de que chacun reconnaît comme étant la vérité », a déclaré le chef de l’exécutif américain.
Barack Obama s’est aussi exprimé sur la nécessité de travailler ensemble pour endiguer la prolifération nucléaire, faisant spécifiquement allusion aux ambitions nucléaires iraniennes.Il s’est franchement prononcé en faveur de la promotion de la démocratie, de la liberté religieuse et des droits des femmes. « Je rejette le point de vue de certains, en Occident, qu’une femme qui choisit de couvrir ses cheveux avec un voile est, d’une certaine manière, moins égale, mais je crois aussi qu’une femme à qui on refuse l’éducation se voit dénier l’égalité », a expliqué le président Obama.
Avant son discours, le chef de l’exécutif américain s’était entretenu avec le président égyptien Hosni Mubarak et avait visité une mosquée. Après l’allocution à l’université du Caire, M. Obama s’est rendu dans la banlieue de la capitale égyptienne pour voir les pyramides. / Voice of America
«Je suis convaincu que, pour avancer, nous devons nous dire ouvertement les choses que nous avons sur le cœur, et qui ne sont souvent dites qu’à huis clos. Il doit y avoir un effort soutenu pour nous écouter mutuellement, pour apprendre les uns des autres, pour nous respecter mutuellement et chercher un terrain d’entente », a encore dit le président Obama.
Le chef de l’exécutif américain a évoqué sa propre perspective de chrétien comptant des musulmans dans sa famille et ayant passé sa jeunesse en Indonésie, pays à majorité musulman. « Cette expérience guide ma conviction qu’un partenariat entre l’Amérique et l’Islam doit être basée sur ce que l’Islam est, et non ce qu’il n’est pas. Et je considère que cela fait partie de mes responsabilités de président des Etats-Unis de lutter contre les stéréotypes négatifs à l’encontre de l’Islam partout où ils sont présents», a-t-il expliqué.
Pour le président Obama, les terroristes exploitent les divergences et tuent des gens de diverses confessions dans plusieurs pays. « La foi éternelle de plus d’un milliard de personnes est tellement plus vaste que la haine étroite de quelques uns ; l’Islam ne constitue pas un problème dans la lutte contre l’extrémisme violent, c’est plutôt un élément important dans la promotion de la paix », a souligné le chef de l’exécutif.
Il est important de parler ouvertement de toutes les questions qui ont créé des frictions dans le passé, des guerres en Irak et en Afghanistan au processus de paix israélo-palestinien, a dit M. Obama. « Si nous voyons ce conflit d’un côté ou de l’autre seulement, alors nous seront aveugles face à la vérité. La seule solution est que les aspirations des parties se réalisent à travers deux Etats, où Israéliens et Palestiniens vivent en paix et en sécurité », a-t-il expliqué.
Les Palestiniens doivent renoncer à la violence et Israël à l’expansion des colonies, a affirmé le président Obama, ajoutant que les deux parties doivent honnêtement et ouvertement voir la situation telle qu’elle est. « De nombreux musulmans admettent en privé qu’Israël ne disparaîtra pas. De même, de nombreux Israéliens reconnaissent la nécessité d’un Etat palestinien. Il est temps pour nous d’agir en tenant compte de que chacun reconnaît comme étant la vérité », a déclaré le chef de l’exécutif américain.
Barack Obama s’est aussi exprimé sur la nécessité de travailler ensemble pour endiguer la prolifération nucléaire, faisant spécifiquement allusion aux ambitions nucléaires iraniennes.Il s’est franchement prononcé en faveur de la promotion de la démocratie, de la liberté religieuse et des droits des femmes. « Je rejette le point de vue de certains, en Occident, qu’une femme qui choisit de couvrir ses cheveux avec un voile est, d’une certaine manière, moins égale, mais je crois aussi qu’une femme à qui on refuse l’éducation se voit dénier l’égalité », a expliqué le président Obama.
Avant son discours, le chef de l’exécutif américain s’était entretenu avec le président égyptien Hosni Mubarak et avait visité une mosquée. Après l’allocution à l’université du Caire, M. Obama s’est rendu dans la banlieue de la capitale égyptienne pour voir les pyramides. / Voice of America
Lubéron suite ....
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